Proche-Orient. Le Parlement ne veut pas de sanctions contre Israël
A l'instar du Conseil des Etats, le National ne veut pas de sanctions contre Israël. Il enjoint toutefois au Conseil fédéral d'user de toute son influence pour garantir le respect du droit international humanitaire à Gaza.
Au terme d'un débat spécial sur Gaza, le National a partiellement adopté jeudi une motion socialiste. Il a en revanche rejeté les points qui demandaient des mesures plus concrètes contre Israël, dont la reprise des sanctions de l'UE contre les colons israéliens violents ou la suspension de l'accord de libre-échange avec Israël. Il a également balayé un texte exigeant une suspension de la coopération militaire avec Israël.
Plusieurs orateurs ont rappelé la situation catastrophique à Gaza. Plus de 64'000 personnes sont mortes dont un tiers d'enfants. Cela représente une classe d'écoliers par jour, a avancé Fabian Molina (PS/ZH). Et d'ajouter qu'il ne suffit pas que le Conseil fédéral exprime son inquiétude, il faut que la Suisse augmente la pression sur Israël.
Face à une pluie de questions de la gauche, le ministre de l'Economie Guy Parmelin a répété que le Conseil fédéral a condamné à plusieurs reprises les violations du droit international humanitaire et poursuivra son engagement pour un cessez-le-feu. Et d'assurer que le Conseil fédéral est profondément bouleversé par la situation sur le terrain, qu'il a qualifiée de "carnage".
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